Le jour où vous lirez un titre comme celui-ci, ailleurs que chez Tablerase.fr, c’est que le poker sera devenu un métier à part entière et que le facteur chance aura été éradiqué!
Ou ce sera un 1er avril…
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En attendant, voici quelques raisons pour lesquelles cela ne se produira vraisemblablement jamais.
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1. Le poker n’est pas un sport.
2. Le poker n’est pas un métier.
3. Le talent est sujet à caution…
4. Le joueur de poker fait buzzzzzzz (c’est un éphémèroptère)
Michel Leeb, Baygon vert
Lien : spot pub M. Leeb
5. La médiatisation d’un inconnu est un investissement aléatoire.
6. Les rooms sponsorisent des lucioles, pas des jeunes talents*
* Durée de vie moyenne de la luciole : 4 semaines. Il faut environ 5000 lucioles pour produire une lumière équivalente à celle d’une bougie! Voici pourquoi les sociétés de stacking font de l’élevage (enfin du recrutement gratuit) intensif…
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7. Les retombées pub d’un « match de poker » sont nulles…
8. La triche est omniprésente…
9. Les héros sont fatigués!
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Quel nom trouve-t-on tout en haut de la pyramide???
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PS. Sourire. Quand on connait le gigantisme et le sérieux de G & S et que l’on voit la manière dont les petits franchouillards du nano monde poker essaient de se défendre (ou de défendre les copains) contre l’hydre fiscal français, on ne peut que sourire. Les gens sérieux distribuent les dividendes et les titres après avoir consolidé « l’entreprise ». Ceux qui tentent jalousement de s’associer à un projet de défense du consommateur poker, se disputent les titres avant de pratiquer l’ouverture et d’avoir la moindre idée!
Rappel. Durée d’existence d’un métier ordinaire : 42 ans. D’un sportif haut niveau : 9 ans. D’un joueur de poker qui perfe : 3 semaines. D’un génie du poker (Brunson, Hellmuth, Elky) : variable, car là, on est dans le para-normal. D’un joueur de poker perdant : toute la vie.
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