MEDIAPART titre :

« Espionnage aux USA »

OBAMA  défend pied à pied, la…

« Mise en place de Internet Surveillance »

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N’oublions jamais que tout part de la protection du citoyen contre le terrorisme. Les informations des uns ou les discours d’autrui ne doivent jamais endormir l’esprit d’analyse de leurs lecteurs ou auditeurs.

Protection = Surveillance donc prévention.

Par conséquent, espionnage ou contre-espionnage !

La protection d’une population entière contre la terreur, engendre des moyens de surveillance accrus. Ceux-ci débordent fatalement sur les pays voisins. Ou complices par omission. Donc on parle d’espionnage. En France le SDECE était très « soft » en parlant de Service de Documentation etc… On pouvait presque imaginer une bibliothèque rose ! Croyez-moi, nous n’avons jamais été « soft »… Quand on démarre par les mots « protection des libertés individuelles » et qu’on en arrive à la mise sous surveillance individuelle de chaque citoyen du monde libre, il est normal que l’on se pose des questions. Encore faut-il se poser les bonnes questions. Sans pousser des cris d’orfraie !

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Et le poker ? J’y viens…

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Sauver la démocratie ou les libertés individuelles ?

Fromage ou dessert ?

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Edward Snowden, (voir lien Mediapart) ancien de la CIA et free lance pour la NSA ne peut pas vivre avec un « micro de Damoclès » au dessus de la tête. Il a ripé ses galoches à Hong Kong… Hasard, bien sûr ! Nous verrons comment ce ventre mou (apparemment un anti Républicain viscéral) vivra la prochaine attaque d’envergure, quand les bâtards d’Oussama utiliseront les milliards de dollars que les banques internationales, (au nombre desquelles l’UBS), n’ont pas confisqués. A côté de cela, parler du poker parait bien léger. Quoique…rien ne soit vraiment léger, quand chaque chose reste à sa place et/ou à son niveau. Quand on voit la puissance avérée du renseignement nord américain, que ce soit dans tous les organismes de surveillance classiques ou dans des cellules moins médiatisées, c’est là qu’on se dit : « bordel, mais qu’est-ce qu’on est naïfs de considérer, en France, que notre poker en ligne est sécurisé » ! Sarkozy ou Hollande (c’est pareil, n’en déplaise aux « has been » amoureux du PS ou du Général) l’ont compris depuis longtemps.

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Mao l’avait pigé dès le début

Le jeu est l’opium du peuple.

Jules César l’avait compris avant la naissance du vrai JC

Les « jeux » sont le zythum* du peuple.

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Hollande et Valls préparent un référendum

Les jeux en ligne sont-ils le Valium du peuple ?

* Zythum, bière antique servie à Rome, sous licence… heu, non. Sans licence en fait !

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La médication et la posologie changent avec les époques. Donc, pour en revenir au poker, comment l’Arjel pourrait-elle intervenir efficacement ou s’inspirer des déclarations de Edward Snowden ? « We hack everyone everywhere. Once you go on the network, I can identify your machine. You will never be safe whatever protections you put in place. » – En deux mots pour les réfractaires à l’anglais, Ed vouloir dire à nous que lui pouvoir pénétrer (lui et ses ex employeur, CIA. NSA) dans n’importe quel ordi appartenant à n’importe qui. Dès que vous êtes sur le Net, il peut identifier VOTRE ordinateur. Vous ne serez jamais à l’abri de ses systèmes de pénétration, quelles que soient les défenses, sauvegardes ou programmes de protection que vous installerez – 

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On revient au poker ? Vous avez lu entre les lignes. Quand le Président des États Unis défend Big brother, cela dérange tout le monde. Bien, c’est à peu près logique ou du moins très franchouillard. Mais vous avez bien compris que le Poker en ligne n’est pas sécurisé ? Vous prêtez (à juste titre) à Obama des pouvoirs incommensurables, genre compter vos spaghettis dans votre assiette, parfois même des exercices plus compliqués ?

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Alors, les spaghettis oui, vous y croyez, mais vous persistez à penser qu’il est impossible qu’on voit vos cartes privatives ou que l’on manipule un programme de façon, par exemple, à multiplier les « rencontres » en ITM entre KK et AA par exemple ? Les joueurs français sont partagés comme d’hab’ entre deux sentiments contradictoires. Le premier : « On réellement capables de faire ça » ? (fierté mêlée de scepticisme). Cette interrogation mettant en avant un sentiment de fierté nationale, que beaucoup de français possèdent, mais gardent bien cachée au fond d’eux mêmes ! On ne la ressort qu’une fois pas siècle, à la fin d’une guerre. Avec nos drapeaux dont on a honte, contrairement à tous les pays du monde. Le second, d’ordre moral. Si nous aussi on peut le faire, nous doit en être fiers (mais en notre fors intérieur seulement). car n’oublions pas notre côté frondeur, râleur, insolent, défenseur des libertés y compris celle de tricher ! Car le français est ainsi fait. C’est complétement ouf, amok, zarbi, dingo, etc… On ne cesse de gueuler tous les jours car on sent, on sait qu’il y a un problème sur le poker en ligne, mais on dirait que l’on veut que cela perdure… Oui, on débloque ! On  ne veut plus de triche mais dès qu’on veut envoyer des Tapie ou des Partouche à la Santé, on pleure sur leur sort. Étonnant, non ? Moi je n’applaudis que les gens qui ne se font pas prendre et en volant les très riches, pas les loosers qui montent mal leur coup et détroussent les petits joueurs ou épargnants !

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Principe immuable du poker.

2 cartes privatives.

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Alors que faut-il faire ? vous êtes des centaines à m’envoyer vos plaintes et vos exemples, tournois après tournois, en disant « pfff, c’est truqué…. ».  Vous ne pouvez pas prêter à Obama des pouvoirs quasi surnaturels (que vous réprouvez) et baisser les bras en France parce que vous pensez que tout est joué d’avance ! Ou nous nous donnons les moyens d’y arriver et le poker carnaval s’arrêtera. Ou on refuse les avancées technologiques au nom de la démocratie, et tout continuera… mais juste un temps ! Car les mois sont comptés. Les hackers ou les casinos en ligne, (chaque exemple cité, dans le milieu qui lui est propre, bien sûr), n’ont pas les mêmes règles que nous. Appliquons ces mêmes règles pour que le poker devienne propre. Lesquelles ? Tout stopper, mettre l’argent sur la table et constituer des cellules ad hoc « hight tech ». Munies de pouvoirs étendus. Sous l’autorité directe du Président ou du premier ministre. (oui, je sais, ce gouvernement guimauve n’est peut être pas un bon exemple). Tout le reste n’est que littérature. Quant au poker détente, relax ou plaisir ? Doux euphémisme…L’étalon reste l’argent.

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« Quand je vois ce que je vois, quand je lis ce que je lis et quand je sais ce que je sais, je suis bien content de penser ce que je pense » a dit à peu près, Fernand Raynaud…

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Je vais vous confier une chose. J’adore le poker et je vais continuer à jouer on line, pour le fun et quelques euros. Alors peut-être suis-je  addict ? Maso ? Sans doute n’ai-je pas trouvé le « remède » suffisamment puissant (lecture, golf, ciné, ou échecs) pour remplacer ce hobby très prenant, mais une chose est certaine. Je sais où j’en suis. Je sais où les commissions de surveillance et de régulation en sont. Je sais qui est qui. Et cela me suffit largement pour savoir « qu’il n’y aurait » qu’un seul remède aujourd’hui, et qu’il ne sera pas mis en place demain. Le remède me demanderez vous ? Interdire le jeu et les rooms on line en France. A ma grande tristesse et mon plus grand déplaisir. Les interdire un temps seulement. Le temps avant la relance. La relance sous forme d’une entité E.U. solide et avant gardiste.  En l’état actuel des choses, les autorités auront toujours 2 coups de retard. Les hackeurs et les rooms ont « les blancs », comme on dit aux échecs. Ils se débrouilleront toujours pour réagir plus vite que l’État. L’ensemble des Services mis en place, ne disposent que de sparadrap et de Mercurochrome, quand il faudrait tout reprendre à zéro, avoir des moyens de communication et des infrastructures connectées. Prévention, surveillance, réactivité. Il faudrait que les professionnels du jeu poker s’alignent sur des lois spécifiques, crées en amont. Pas l’inverse !

Alors qu’aujourd’hui, des lois datant de …pffff,  sont rafistolées en aval de l’imagination des rooms, des hackers, ou de la Jurisprudence… Une fois ces nouvelles lois mises en application, les autorités style Arjel, devronnt tenir les commandes des unités centrales des Rooms,  confiées à des hackers de génie (lire ingénieurs et les imaginer en blouse blanche), surveillés eux-même par d’autres hackers plus géniaux encore (lire super ingénieurs et polytechniciens vicieux, cela rassure. Quoique…). Le tout enfermé dans un site sécurisé européen, gardé par des unités d’élite, genre Seals & Légion Étrangère. Point final. Des pays comme Israël et plein d’autres l’ont fait, au nom de principes religieux ou de préceptes antiques…Pourquoi ne le ferions-nous pas au nom de nos trois mots magiques, l’un en particulier ? Égalité entre les joueurs, les rooms et l’État… Pas très gai tout ça ?

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Liberté, Egalité, Fraternité