Contrairement à ma copine blogueuse qui continue d’annoncer « la bonne aventure » en criant victoire aux 213 et aux autres, la réouverture des Cercles parisiens est un problème politique insoluble lié à des affaires « en col blanc ». Un peu comme l’ouverture, la réouverture ou la fermeture des maisons closes. Au lieu de poser des questions aux uns et aux autres sur le devenir des moyens tournois mis en place ici et ailleurs, chacun ferait mieux de s’intéresser à l’avenir de cette clientèle parisienne que va devoir gérer et « chapeauter » le Groupe Barrière.
Les Cercles ont vécu, vivent les Casinos !
Après la dizaine d’inculpations (mises en examen) des uns et des autres, Serge est écroué (es qualité) bien sûr. La seconde personne écrouée n’a pas été citée jusqu’à présent… Qui dira son nom le premier, aura le Pulitzer du poker ! (moi, je ne joue pas, j’ai déjà le nom et je m’octroie en sus, le Pulitzer poker de Perros Guirec).
Et les bracelets seront désormais mieux répartis. Humorialiste oblige, on ne va ni se taper sur les cuisses ni se morfondre. Alors un peu d’humour.
Si Marthe Richard était une vraie pute (prostituée, pardon) une espionne (ou balance) une femme politique (juge et partie) et grande adepte de sensations fortes (l’aviation, tiens tiens…) rien n’empêcherait certains de jouer le personnage de Marthe Richard : après la fermeture des salles d’entente (cercles de jeux) créer une nouvelle Association Loi 1901, pour le plaisir et le développement des sens. Un imbroglio de putes, de balances, de politiques, d’anciens flics, de financiers véreux et de charity businessmen… voilà une chose qu’elle serait belle !
Souvenons-nous que la loi Marthe Richard du 13 avril 1946 abolit le régime de la prostitution réglementée en France depuis 1804. Elle impose la fermeture des maisons closes (« maisons de tolérance »). Après la fermeture des « Salons de jeux » libre à nous de travailler en free lance, comme les prostituées d’après guerre ! Seul problème, ces dames n’ont pas été longtemps à leur compte. Il y a toujours un fish (lire maquereau) pour reprendre le collier de ces dames. Et dans le poker ? Les poissons qui sont jusqu’à présent passés entre les mailles du filet ont grandi un peu. Peut être, à force d’ouïr les témoins des Cercles, ces poissons se feront-ils attraper par les ouïes ? Je l’ai ouï dire… De toutes façons, la Richard n’y connaissait que dalle ! Fermer des maisons closes est un pléonasme. Fermer les Cercles de jeu n’est vraiment pas ludique. Pourquoi pas les aires de jeux chez Mac Do ou Ikéa ? Pfff, si on ne peut plus jouer !
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