Entre Big Roger et les animaux,
c’est une longue histoire d’amour!
En tout premier viennent les poneys.
Cet animal, que d’aucuns qualifient de bêtes de somme, ont un pelage souvent lustré, qui leur tient chaud l’hiver. En vieillissant, ils perdent parfois de leur éclat et viennent même à se dégarnir. D’où le port d’une casquette pour certains de ces bestiaux. A noter que le poney est fragile des yeux et doit souvent porter des lunettes de soleil… Ils sont, ainsi apprêtés, tout à fait prêts à se faire plumer dans les casinos. Lorsque le gardien de ces braves bêtes ne parvient plus à les maîtriser au baton, il leur place un casque audio sur leurs deux longues oreilles, afin de leur dicter ses ordres. A noter que certains poneys ont appris à déchiffrer les cartes à jouer, mais pas à compter. Si bien que ce cheptel est un régal pour les joueurs de poker avisés, ce qui fait de ces animaux des mets parfaits pour être consommés sur place. En tournoi ou en cash game. Ces braves bêtes apportent le grain à moudre aux tables de jeu de pros tels Big Roger. Il peut y avoir de temps à autres un chef poney, lequel se distingue de ses congénères par une ossature plus imposante, un ventre arrondi et une barbe hirsute. Ces petits chefs défient souvent les vrais joueurs de poker, mais ont du mal à s’organiser pour relever leurs propres défis… NB. Il existe aussi des ponettes, à Marseille comme à Paris 😉
Seconde catégorie : les ânes bâtés
Il n’est pas d’animal plus hérissé, plus sale, et plus gonflé de vent, que cet âne bâté qu’on appelle un savant !
Victor Hugo
Les ânes bâtés ont la suffisance proverbiale. Big Roger les qualifie ainsi (au sens figuré): personne peu avertie, qui se prend au sérieux et croit travailler pour la science, ou tout simplement faire œuvre utile au poker, alors qu’elle ne fait que transporter des connaissances acquises par d’autres, sans en saisir la portée, et souvent avec un résultat ridicule. Idiot, crétin à la bonne conscience satisfait de lui-même. Ces ânes sont un régal, un festin pour les hommes dans le genre de Big Roger. Ils déposent leurs offrandes sur les tapis verts du Big.
Ce bestiaire est loin d’être terminé. En revanche, laissons libre cours à l’imagination du Big pour un prochain compte rendu 😉
Partagez cet article :
Tweeter