«Big Roger et moi adorons les Clubs anglais » ca qui ne signifie pas forcément que que nous soyons devenus Sir Roger ou Sir Janluk. Mais toujours amateurs de Havanes Grands Crus de Cubade ronce de noyer et de cuir Connolly, ça oui !

 

L’un n’empêche pas l’autre. D’ailleurs, ayant eu le privilège en son temps, de m’adonner au plaisir d’une Daimler, je ne me suis jamais abstenu de fumer l’un dans l’autre. Un ami aimait à me rappeler qu’une Jaguar n’est pas une simple voiture : mais un art de vie.
Qu’en sera-t-il demain, à Paris avec ces nouveaux Clubs de Jeux ? Comme d’habitude, Big Roger a lancé la mode avec son soutien au Club Circus. Circus a été dirigé deux années par notre ami romancier de talent, Alexis Laipsker. Allons-nous retomber dans les mêmes travers qu’à l’époque des Cercles Cadet et autres ? Mainmise par des réseaux méditerranéens-mafieux ? Ou d’autres fleurant bon les accents d’Europe de l’Est ? Ou la classique planche à billets « élection » ?

Gauche à droite ; A. Laipsker, Janluk Table Rase, Big Roger, Néfertiti et Grégory Hairabedian

Vous les femmes… Rappelons que les Clubs so British, ne sont pas interdits au femmes, ils sont juste… réservés aux hommes. Nuance. Un peu comme les tournois Ladies. Réservés a priori aux femmes, mais pas interdits aux hommes. Pas de réelle discrimination, l’honneur est sauf ! Puis-je me permettre de vous rappeler qu’à Paris, sur l’une des extrémités du bar Le Fouquet’s, se trouvait jusque dans les années 2000, un avertissement au format 18 x 24, (dont je n’ai malheureusement pas pu retrouver le modèle dans l’iconographie Google) sur lequel était inscrit : « Les femmes seules ne sont pas admises au bar. »
Ce qui signifiait en clair : « Interdit de racoler ici. Tu reviendras quand tu auras « levé ton micheton » et on marchera au bouchon. Cela va sans dire, mais cela va toujours mieux en l’écrivant.