Mélenchon, Jadot, Rousseau,
même combat.
Oui il hurle à la mort, le visage déformé par la haine. Il hurle à la mort dans le sens ou il appelle de ses vœux, à toutes les exactions. (qui sont commises dans notre pays, depuis 3 jours et 3 nuits). Cet ex rhéteur-sophiste, aujourd’hui tombé dans le sophisme* facile, pense être un homme providentiel ? Comme le furent tant de petits dictateurs d’extrême gauche ou droite. Car il faut bien comprendre une chose, c’est qu’en appelant par l’intermédiaire de tous les réseaux à sa disposition, à :
« Ne pas toucher aux écoles, aux gymnases ou aux médiathèques, à tout ce qui est à nous, à notre bien commun…«
le corollaire de cet appel de Mélenchon, signifie de facto que tout le reste peut et/ou doit être détruit, brûlé, cassé, volé.
VOITURES, AUTOBUS, MAIRIES, BIENS PUBLICS OU PRIVES, PAVILLONS, APPARTEMENTS, COMMERCES…
*Sophisme. Mensonge via des raisonnements spécieux
Qu’attend donc le gouvernement Macron pour dissoudre ce mouvement factieux qu’est LFI ? Et mettre en examen cette girouette, cette pâle figure de Chavez ou autre pauvre caricature de Léon Trotski ? Faudrait-il, (faudra-t-il) que d’aucuns appellent les citoyens respectueux de l’ordre public, fiers de notre drapeau et de notre belle nation, à rendre vite avec des voitures béliers, à ce cher ange qu’est Mélenchon ?
Il appelle à la haine, il inverse tous les processus de pensée, il joue avec les mots, les raisonnements, en les distordant à l’envi. Bref, cet homme est dangereux, car les banlieues n’attendaient que des prétextes comme ceux édictés par Mélenchon, pour s’embraser. Des boutefeux comme ce politicard professionnel gauche-caviar (aujourd’hui ringard, à plus de 70 ans), pour continuer de casser, de brûler, de tuer ! En fait, il appelle à l’insurrection mais sans avoir réellement les c…. de le dire en toutes lettres ! Il préfère envoyer les jeunes incultes des banlieues, ses anciens coreligionnaires, à l’assaut de nos remparts Républicains. Et, dans ses rêves les plus fous, il se voit bien, nanti des pleins pouvoirs, envoyer la Légion Etrangère pour éteindre les brasiers qu’il aura lui-même allumé, en tant que harangueur et de bonimenteur professionnel !
Comme il se méfie des vrais orateurs, rhéteurs, polémistes et/ou débateurs du centre et/ou de droite, les quelques parlementaires qui le rencontrent, ne parviennent pas à lui rabattre son caquet, à lui river son clou, ou tout simplement, remettre en place ce phraseur. Avec la fessée qu’il mérite ! 2 claques et au lit !
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