Oubliez Megève cette année ! Péralada vous tend les bras… cette semaine !

Parlons-en du ski ! Ils gèlent tous sur leurs planches. Les uns se cassent le fémur, d’autres tombent du téléphérique, s’ébouillantent avec leur fondue, se mutilent avec leur tire-fesses,  bref, le tout pour 5 000 euros par semaine ! Merci Europe-Assistance.

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Parlons-en de Deauville ! En janvier, il fait un temps splendide. Ce que les normands appellent orage s’appellerait cyclone dans toutes les régions tempérées de France. A Miami, on lui aurait donné un nom ou au moins, un prénom ! Annie ou Jennifer, voire Annette (Duke, Obrestad ou Harman). Ici, non ! Les parasols s’envolent, mais don’t worry? les casinos sont amarrés à de solides aussières, tout le long de la rue E. Blanc…

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Heureusement, dans certaines régions comme la Catalogne, du côté espagnol, donc à 30 km au sud de la frontière hispano-française, fin janvier, début février, on ne va pas vous dire que c’est l’été, non… Mais une certaine douceur de vivre et un grand soleil bercent la Costa Brava. Plus précisément du côté de Péralada (1H30 de Paris). Le casino n’est pas de 1912 comme à Deauville mais de 1500 environ. Les machines à sous, les jeux offerts (roulette, poker, Black Jack etc…) sont les mêmes ! Un night Club ? Également ! 1 salon de réception à Deauville ? A Peralada il y en 5 au moins. 2 bars, 3 restaurants ? Ici, c’est pareil, du grill au gastronomique… Les consommations pour les joueurs ? Aïe, Deauville, c’est cher ? Au château de Péralada, toutes les consommations pour les joueurs de poker sont offertes.

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Ça change, non ? Quant au service, au luxe et aux soins apportés à la clientèle, loin de dire que le groupe Barrière fait mal son travail (étant client des hôtels et du casino Barrière) je puis vous dire que si Barrière est en +++, le Grup Peralada est en *****. Loin devant. Non, ce n’est pas de la publicité malhonnête, c’est du vécu ! Je ne dis pas que Barrière est loin derrière, pas du tout. Je dis  que Péralada est loin devant. Comme on dit, il n’y a pas photo. Et plutôt que de dire « ha bon ? », je vous conseille de ne pas rester figés sur vos positions. Il faut y aller et juger après.

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Les buy-in sont plus modestes, mais le jeu reste de très bon niveau. Et s’il n’y a ni boutique Hermès, ni joaillerie Fred, en revanche, les visites du site et de ses splendeurs cachées sont inoubliables. Une dernière chose : dans les salons, si vous venez à cette semaine d’hiver du 29 janvier au 2 février, vous y croiserez des gens certes bien mis, peut être même en smoking et robe longue. Le week-end surtout. Pas de panique, ils ne vous importuneront pas. Ils ne vous dévoileront pas non plus qu’ils sont P-DG d’Hispano Suiza, baronne de Péralada ou directeur général de la Banco Bilbao etc…

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Ils ne vous en voudront pas non plus d’avoir oublié votre nœud papillon et de circuler avec ce drôle d’accoutrement qu’affectionnent tous les joueurs à la mode. Ils penseront peut être « Il faut bien que jeunesse se passe ! » L’ambiance y est simplement formidable. Avec des mélanges de générations, de tenues vestimentaires et de comportement, bien sûr, mais c’est cela qui favorise les découvertes exceptionnelles.

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Et je puis vous garantir, que tous ces gens, à votre service, sont exceptionnels !