Voilà par écrit et au calme, les questions que je finis par me poser. Et que je vais vous poser à vous tous, petits, moyens et grands joueurs-lecteurs de poker. Je ne souhaite pas refaire le monde, c’est impossible. J’aimerais simplement des réponses simples à des questions encore plus simples. Essayez de me parler via les commentaires tout en bas de l’article Table rase, je vous répondrai avec l’attention et le sérieux qui conviennent. Je sais quand il faut être modeste, humble et très sérieux. Et puis, sachez que jouer le personnage que j’interprète pour des joueurs comme Adrien Guyon, me lasse. Car ce n’est pas dans ma nature d’être méchant ou prétentieux. En revanche je suis fier de ce que j’ai fait et me battrai toujours bec et ongles pour préserver ce que j’estime être mon honneur.

 

 

Exemple :

Pourquoi suis-je classé 16 ème homme d’influence au poker, sinon pour mon retour sur scène en 2018 ? Alors pourquoi, en ce cas, les organisateur(trices) des WPT et des WSOP m’interdisent-ils toujours de défendre mes titres et mon classement à Marrakech ? Pourquoi ?
Pourquoi Bruel passe-t-il de la première place à nulle part dans ces nouveaux classements annuels ?
Pourquoi un type comme Moundir est-il devant Loïc Xans, moi-même et Patrick Bruel par évidence ?
Que vient faire un type comme Moundir dans un classement poker, alors que la discipline poker n’est pour lui, qu’une opportunité !
Comment peut-on être exit de ce classement parce que l’on prend deux années sabbatiques comme Alexis Laipsker ? Ses acquis devraient rester valables même s’il doit être rétrogradé, pas vrai ?
Rions un bon coup, non pas de Julien Tissot mais des Kolbouëts qui se retrouvent ici en ayant joué non pas au poker, mais des coudes…

 

Tiens, encore un absent !

 

Je vais essayer de ratisser large en rappelant que Julien Tissot a bien écrit personnalités françaises. Donc, ni belges ni suisses, même si d’aucuns auraient peut être souhaité y inclure des hommes comme Davidi Kitaï ou Pierre Neufville.

Ensuite, J.T. ne dit pas « joueurs » mais personnalités. Ensuite il dit « influentes » et enfin il détermine un laps de temps d’une année : 2018. Donc il est envisageable de ne pas citer en 2016 et 2017 Roger ou Bruno Fitoussi, lorsque l’un était en longue maladie et l’autre aux Etats Unis.

Quand il cite Lucille Denos ou Hermance Blum, nous ne sommes pas d’accords forcément avec Julien Tissot. Roger a réalisé une vidéo avec des questions posées par son ami Karim, lesquels nous disaient qu’il aurait mieux valu expliquer le pourquoi des nominations au lieu d’un rappel des prouesses de leurs sociétés ou la nature du boulot pour lequel ils sont payés.

Car rappelons quand même que ces deux femmes, à l’instar d’autres personnes pour d’autres events, ont été appelées et sont payées pour réussir une mission qu’on leur a confiée clef en main. Avec le salaire correspondant aux attentes de leur Direction Générale. Contrairement à d’autres petits patrons, qui eux ont retroussé leurs manches et ont fait preuve d’imagination, de courage, et de volonté pour se frayer un chemin entre ces multi-nationales et se payer un modeste salaire tout au long du chemin.

Je pense au second et au 20ème, MM. Apostolos Chantzis et Dominique Lamy (qui est bénévole associatif, rappelons-le). Ajoutons même Loïc Xans, qui se démène avec ses diverses émissions. Certaines étant mieux ficelées que d’autres, bien sûr. Bref, ces 3 personnes auraient dû être mieux classées. Toutes.

Maintenant, retenir une personnalité comme Elky, le plus brillantissime orateur du small world… Le joueur le plus charismatique de tous les temps, largement devant Negreanu & Hellmuth… No comprendo ! Ou alors, pour ses gains exceptionnels (pour un joueur français), il faudrait lui décerner un wild classement comme dirait le grand absent de ce classement, le maltais Dreyfus.

Ne parlons pas de Moundir… Alors n’en parlons pas, rions un bon coup !